Pour construire un drawdio, nous avons commencé par placer chaque élément sur une breadboard: ça nous permet de comprendre le circuit et vérifier qu’il fonctionne. Nous avons parallèlement utilisé le logiciel Fritzing pour visualiser les connexions à réaliser.
Une fois que le circuit marchait, nous avons replacé les éléments sur une carte, puis soudé le tout:
Une fois que nous avons réussi à avoir le petit objet qui fonctionne, nous avons pu nous amuser à chercher quels objets et quels gestes donnaient les plus amples variations. Nous avons dans un premier temps imaginé un projet avec un gobelet rempli à moitié de liquide (de l’eau) et des fils de métal. Les variations de son n’existaient pas: nous avons alors essayé avec des liquides différents pour essayer de changer la conductibilité du gobelet, et donc les sons, mais tous les liquides conduisaient autant (l’eau, du jus d’orange, du coca et du café).
Nous avons donc finalement opté pour changer les métaux: l’aluminium et le cuivre conduisant trop bien l’électricité, nous avons élu le fil de fer, plus résistif, qui permettaient des variations de son selon le niveau de l’eau dans le gobelet.
En essayant avec de l’eau salé ou sucrée, nous avons eu envie d’essayer avec des solides conducteurs, comme une pâte. Celle-ci est à base d’eau, de citron, d’un peu de sel (pour conduire) et de farine (pour faire une pâte maléable).
Nous nous sommes inspirés des recettes de pâtes suggérées sur le site de St Thomas University, ce qui est appelé les Squishy Circuits.
On remarque que malgré la longueur de la pâte, les variations du son sont trop faibles pour être perceptibles: une pâte moins salées, ou avec moins de citron offrirait peut-être davantage de musicalité.